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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 13:51

Analyser un compte-administratif n'a malheureusement jamais donné quitus à une majorité municipale. Constater l'augmentation significative du budget de fonctionnement communal en recettes par augmentation du volume financier des impôts n'augure en rien non plus d'une bonne gestion communale de celui-ci. Voter un budget est un tout, avec des centaines de rubriques et, en extraire une en l’analysant d’une manière globale, comme c'est le cas dans la dernière tribune de la majorité, n'a pas de sens. Nous maintenons que de très nombreuses associations voient leurs subventions directes stagner depuis de très nombreuses années.

En effet pour un budget, derrière les chiffres et les aspects techniques se cachent des choix politiques et sociétaux comme par exemple le choix pour la commune de n'avoir finalisé de sa pleine initiative à ce jour en 12 ans de mandat aucun logement social, alors que de nombreuses opportunités autres que celle de la gendarmerie s'étaient présentées. S'abriter, sur ce sujet, derrière des taux, montrerait à tort que l'on fait moins mal que nos proches voisins en vivant confortablement sur un parc de logements sociaux réalisé par d'autres majorités lesquelles, en leur temps, avaient dans ce domaine fait des choix bien plus courageux. Qui peut nier aujourd'hui encore, que le parc de notre commune ne répond plus depuis trop longtemps aux très nombreuses attentes de nos concitoyens ?

Que dire par exemple d'un futur projet cœur de ville qui à ce jour ne réserverait que 6 logements sociaux sur les 41 programmés ? Comment retenir nos jeunes et les plus modestes afin de maintenir un dynamisme à travers une pyramide des âges renouvelée ? Notre commune ne va malheureusement pas dans cette direction. Alors oui, nous avons voté contre le budget communal comme nous avions aussi voté contre le budget assainissement et l'augmentation de 206 % de la taxe communale sur chaque mètre-cube d'eau consommé car, là encore, d’autres choix plus équilibrés que nous avions proposés étaient possibles.

Pour ce qui est des recettes du concert solidaire à l'association de la lutte contre la mucoviscidose, Festif'art, noyée parmi une dizaine de rubriques dans un vote bloqué lors d'une troisième décision modificative budgétaire 2011 du 15 décembre dernier, nous mentionnerons simplement que nous n'avons pas voté défavorablement cette proposition, comme pouvait le laisser entendre la dernière tribune de la majorité.

Les élus de Limours Pour Tous

7 mai 2012

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 10:38

Depuis près d’un mois des limouriens sont surpris de ne pas trouver certains jours de courrier habituel dans leur boîte à lettre.

 

Explication : La Poste de Limours sans préavis aux usagers a décidé de ne distribuer le courrier qu’un jour sur deux, un quartier un jour, un autre quartier le jour suivant.

 

Problème : les délais de distribution en fonction des tarifs (tableau officiel de La Poste) sont-ils respectés ?

Rappelons les pour un envoi lettre de 20g en France métropolitaine :

            Timbre lettre verte service rapide à 0,57 € :   J+2

            Timbre lettre prioritaire à 0,60 € :   J+1

 

Or il apparaît que des lettres affranchies à 0,57 € sont distribuées à J+3 et que d’autres affranchies à 0,60€ le sont à J+2 voir J+3.

 

Qu'est-ce qui justifie cette décision soudaine, illégale et contraire à la tradition de service public de La Poste française, sans aucun préavis aux usagers et ni sans doute à la municipalité de Limours (?) laquelle aurait probablement  réagi en informant ses administrés avec rappel de la loi ? 

Serait-ce le profit ? Probablement.

Probablement si l’on considère la réduction de personnel par les départs à la retraite des fonctionnaires et l’utilisation de vacataires en CDD. Une réduction à laquelle il y a lieu d’ajouter les arrêts pour maladie plus nombreux qu’auparavant avec pour corollaire une moindre motivation due aux nouvelles conditions de travail et rémunérations d’employés dont le statut a changé. Voilà qui ne permet pas d’absorber le trafic.

 

Comment peut-on qualifier cette démarche de La Poste, lorsqu'un correspondant affranchit une lettre au tarif prioritaire, la poste dans plage horaire indiquée pour la levée et que cette lettre ne sera pas distribuée au destinataire dans les délais correspondant au prix acquitté, et ce pour des commodités de service à l’arrivée ?

Le service public ainsi traité n’est pas satisfaisant et ne correspond pas à la mission qui lui a été confiée.

Il y a lieu de réagir.

En attendant vous êtes invités à signer la pétition initiée par Gérard, et à comparer et noter les écarts entre date de compostage et date de distribution du courrier.

Pétition : http://www.mesopinions.com  Pour une distribution journalière du courrier à Limours



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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 12:51

Les axes financiers de la commune ont été abordés au cours des derniers conseils municipaux, lors du débat d’orientation budgétaire du 15/12/2011, puis lors de la présentation suivie du vote du budget primitif 2012 de la commune le 26/01/2012.

 

Une nouvelle fois nous constatons que les subventions directes aux associations sont dans leur grande majorité inchangées et par voie de conséquence diminuent en euros constant. Alors faute de mieux, suite à nos remarques récurrentes, on nous vente les équipements mis gratuitement à disposition, les aides logistiques et l’homéopathique enveloppe dédiée aux projets tout en ne manquant pas de remercier les associations lors de grandes messes publiques. Tout cela n’est malheureusement pas nouveau, existe depuis longtemps et ne coûte pas trop cher. Les associations ayant des salariés devront-elles augmenter leurs permanents à coup de remerciements ?

 

Et pourtant l’argent est là et bien présent. Le compte administratif, élément budgétaire indiscutable gravant dans le marbre les éléments financiers communaux, est à ce sujet très parlant. Sur le poste budget de fonctionnement, ce dernier par exemple entre 2006 et 2010 (dernier connu à ce jour) est passé de 6877416 euros à 8087739 euros en progression régulière tous les ans avec une augmentation globale de 17% en grande partie due à l’évolution des bases des impôts et taxes. Rentrées en augmentation de 17%, inflation de 8%, stagnation des subventions. Le compte n’y est pas et loin s’en faut !!!

 

Certaines associations feraient du « business » nous dit monsieur le maire en conseil municipal. Cette remarque nous laisse sans voix. De nombreux bénévoles apprécieront.

 

Nous avons voté contre le budget communal, qui intégrait les subventions aux associations,   présenté au conseil municipal de janvier dernier.

 

PS. Les élus de la majorité de l’équipe municipale devraient être plus attentifs à nos écrits et respecter le calendrier. En février 2012, Nathalie Kosciusko-Morizet s’exprimait dans sa lettre au titre de Ministre de l’Ecologie et du développement Durable. Ainsi le PNR relevait de ses attributions…à l’époque.

 

Le 7.04.2012

Jean-Pierre CHRETIEN, Anne TURPIN, Christian COLLET, Michèle HAMON,

Elus de Limours Pour Tous…et membres  de l’équipe municipale

 

Blog: http://limours-pour-tous.over-blog.com

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 09:13

Dans sa lettre n° 15 Hiver 2012, la ministre, en charge à l’époque, de l’Ecologie et du Développement Durable, a dédie deux pages au PNR (Parc Naturel Régional de la Haute Vallée de Chevreuse) et   se félicite du décret du 3 novembre 2011 par lequel elle consacre l’extension du Parc à 30 communes supplémentaires dont 7 de l’Essonne.

 

Elle énumère les bénéfices concrets qu’en tireront les communes concernées :

- Expertise de la trentaine d’experts du PNR accompagnant entre autres les villes dans la valorisation du patrimoine et les aménagements : y ont déjà fait appel Fontenay-les-Briis, Forges-les-Bains et la CCPL pour La Lendemaine  aux Molières (ex TDF).

 

- Nouvelles subventions « servant notamment à cofinancer les actions des villes »

 

- Meilleure maîtrise de l’urbanisation, « les communes tout en restant maîtres de leur PLU (Plan Local d’Urbanisation), peuvent respecter les objectifs précis de la charte pour un urbanisme plus dense ».

Or le PLU par définition c’est le droit du sol.

 

Dans le Républicain du jeudi 16 février qui consacre une page au PNR, interrogé JR Hugonet maire de Limours dit à propos de son refus d’adhésion : « L’une des raisons fondamentale est la problématique du droit du sol car le document prend le pas sur le Plan Local d’Urbanisme (PLU)…. ».

Or il a toujours été confirmé que les maires conservaient le droit du sol !!

 

Bref autant d’éléments, affirmés, revendiqués et jugés positifs par la ministre, qui avaient été rejetés par la majorité municipale de Limours en refusant d’adhérer au PNR.

Mieux vaut pour cette municipalité traiter les dossiers avec des cabinets privés plutôt que d’utiliser les services offerts par le PNR, alors qu’il eut été possible d’associer les deux compte-tenu de l’ampleur du projet d’aménagement du cœur de ville, et ainsi réaliser quelques économies bienvenues pour d’autres affectations.

 

Pourtant, le maire de Limours nous avait toujours semblé empressé de rejoindre les points de vue de Nathalie Kosciusko-Morizet, « mon amie » comme il aime à le rappeler fréquemment.

 

Un couac dans la communication ?

 

Le 7.03.2012

Jean-Pierre CHRETIEN, Anne TURPIN, Christian COLLET, Michèle HAMON, élus de Limours Pour Tous

 

Blog: http://limours-pour-tous.over-blog.com

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 14:56

Le Limours magazine de Février offre une étonnante façon de concevoir, localement, le débat démocratique et la liberté d’expression. En effet dans un article plaidoyer consacré à la distribution de l’eau à Limours, l’auteur, sous le couvert du maire, directeur de la publication, considère comme «  débats idéologiques stériles » les questions  des élus de l’opposition  concernant  le projet de la majorité municipale. Il est vrai que dans cette majorité municipale, dite apolitique, tout avis contraire est vite taxé « d’idéologique ». Mais leur façon d’être, de penser, d’agir repose sur quoi ?

La définition du mot   « stérile » précise  « débat sans résultat, vain, inutile ». Chaque Limourien peut se faire ainsi une idée du sens du dialogue et  du questionnement  en place à ce jour  au sein du Conseil municipal.

Lors du Conseil municipal du 7.04.2011, il était demandé aux conseillers municipaux de choisir entre 2 solutions adaptées à la distribution de l’eau à Limours :

-         l’affermage confié à une société privée (qui a la préférence du maire)

-         une gestion directe par la commune de Limours, « en régie municipale ». A notre connaissance, les villes ayant choisi cette dernière solution ont fait des économies de gestion pour leurs concitoyens.

La présentation du dossier étant incomplète, les élus de l’opposition ont demandé si la solution de la régie municipale avait été examinée  valablement en calculant l’organisation et le coût d’un tel choix. La réponse fût « non ». Ainsi la municipalité a préféré se couler dans le moule des décisions anciennes sans faire l’effort d’étudier une autre solution. Notre choix fût donc l’abstention devant un manque d’informations précises.

De plus, nous avons demandé si l’étude des tarifs dégressifs  pour les Limouriens, selon le type d’utilisation de l’eau, avait été réalisée. Même réponse : « non », avec une petite interrogation du maire sur la légalité d’une telle procédure.  (ceci est pourtant tout à fait légal et déjà utilisé dans d’autres communes)

Lors du conseil municipal du 15.12.2011, nouvelle abstention de notre part, pour le choix de l’entreprise en charge de l’affermage. Sans contester le mode de procédure de la commune, nous avons estimé  que la présence d’un seul candidat, due à l’absence de candidatures des autres entreprises de distribution d’eau, ne permettait pas  l’exercice réel de libre concurrence. Nous avons émis l’hypothèse « de partage de gâteau », des territoires entre sociétés. Est-ce idéologique ?

Dans notre dernière Tribune,  l’exemple donné mettait en valeur un coût moins élevé et une  mise en place d’un tarif dégressif qui prend en compte le nombre d’utilisateurs par habitation, le type d’utilisation de l’eau (hygiène, cuisine, particulier –entreprise, lavage de voitures, piscine…). Est-ce stérile ?

Ce choix d’affermage s’inscrit dans la continuité de l’externalisation des services : nettoyage des bâtiments, espaces verts…permettant ainsi que des entreprises privées fassent des profits avec les deniers publics…

Nous espérons que les élus, à la fin du contrat en 2024, feront une étude plus approfondie pour étayer leur choix. A cette date, la compétence de la distribution de l’eau pourrait être du ressort de la CCPL.

                                                                                                   Le 7.02.12

Jean-Pierre CHRETIEN, Anne TURPIN, Christian COLLET, Michèle HAMON, élus de Limours Pour Tous

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 15:53

Limours est reconnue  comme une ville ayant un nombre d’associations très important, de l'ordre de 70.

Ces associations couvrent de nombreux domaines  : social, sports, culture, loisirs, … et sont apparemment toutes répertoriées sur le site de la commune et reprises dans un répertoire annuel avec  l’objet et les coordonnées de chacune d’elles, ceci complété par un forum annuel dédié.

 

L’utilité et le concours qu’elles apportent à l’animation et l’amélioration de la vie sociale de notre commune, et aussi pour certaines d’entre elles à la Communauté de Commune du Pays de Limours, n’est plus à démontrer. Ce point ne manque jamais d’ailleurs d’être signalé par M. le maire lors de ses différentes interventions publiques ou lors de conseils municipaux. C’est une reconnaissance au final peu coûteuse qui mériterait un soutien financier plus appuyé pour certaines d’entre elles.

 

Ainsi, bien que le budget global de la commune soit en augmentation constante chaque année, le montant annuel des subventions accordées lui, stagne, ce qui est regrettable.

Questionné sur le sujet lors du dernier conseil municipal M. le maire a fait remarquer au travers de ses commentaires, que certaines associations en faisaient du « business ».

Qu’est-ce à dire « business »?  Pour être annoncé en conseil municipal le fait est donc avéré ! On supposera alors que les subventions aux dites associations ne sont pas justifiées. Ont-elles été supprimées ?

 

Tout le monde s’accorde à reconnaître que nous traversons une période difficile qui touche de plein fouet les plus démunis, et que, par voie de conséquence, les associations à vocation sociale et solidaire, faute de moyens suffisants, ont de plus en plus de difficultés à répondre aux besoins croissants qui en découlent.

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 09:14

Lors du Conseil Municipal du 15.12.2011, le Maire et sa majorité ont voté favorablement la délégation par affermage du service de distribution de l’eau potable à la Lyonnaise des Eaux : seule entreprise candidate et actuelle prestataire. Les autres entreprises n’ayant pas déposé d’offre lors de la procédure d’appel d’offres réglementaire, le principe de libre concurrence et, en conséquence, le meilleur prix pour le client, est ici inversé avec l’absence de concurrence (partage de gâteau entre entreprises ?) et, en conséquence, le meilleur prix de vente pour le prestataire. La question vitale demeure : qui  est véritablement gagnant dans ce type d’opération ?

Les élus de l’opposition se sont abstenus,  pour rester cohérents avec leur abstention lors du vote au Conseil municipal du 7.4.2011, où la majorité municipale avait choisi l’affermage comme type de gestion de l’eau pour Limours.

En effet, une gestion directe par la commune est possible, par l’exploitation en régie avec du personnel communal en passant par la création d’un service équipé de matériel spécifique et doté d’équipes comprenant les compétences nécessaires. Malheureusement, la commune de Limours n’a pas réalisé l’étude d’un tel projet et, notamment, son coût en régie.

De plus, le Maire refuse la mise en place d’un tarif progressif lié à la consommation de l’eau, comme cela existe dans d’autres communes (autorisé par une loi en 2010). L’objectif, dans ce cas, est d’offrir à tous les ménages une tarification plus juste, et de contribuer à répartir le service de l’eau de manière plus équitable entre toutes les personnes en faisant appel à une  formule de répartition qui satisfait le plus grand nombre. Ce tarif progressif encourage les économies d’eau.

Pour exemple, citons la Communauté d’agglomération des Lacs de l’Essonne qui a mis en place en 2011 une gestion en régie :

      -     tarifs différenciés selon l’usage familial ou professionnel

      -    baisse de 37% du tarif d’accès sur une base de 120m3

-          suppression de l’abonnement

-          gratuité des premiers m3 (soit 2,7% de la consommation)

-          tarifs progressifs : distinction entre eau indispensable à la survie, eau nécessaire aux aspects sanitaires et d’hygiène (120m3) puis consommation jusqu’à 200m3, et enfin les consommations supérieures à 200m3.

Pourquoi ne pas envisager des tarifs similaires à Limours ?

Lors du conseil  municipal du 15 décembre ,le maire n’a pas écarté définitivement la distribution en régie, mais  il considère qu’il vaut mieux que des communes voisines du canton qui l’envisagent « essuient les plâtres ». Donc, solution remise à l’étude, au mieux, dans 12 ans, durée du contrat.

Nous considérons que l’eau est un bien commun et surtout pas une marchandise. L’eau a un coût de captation, de traitement, de distribution sur lequel il ne convient pas de réaliser un bénéfice lorsqu’il s’agit d’un usage domestique.

Nous tenons à signaler aux limouriens qu’une nouvelle aide financée, par la Conseil  général, destinée aux familles en difficulté pour régler leur facture d’eau, est mise en place à compter du 1er  janvier 2012 (loi solidarité, février 2011). En cette période difficile de crise économique, ne pas hésiter à contacter le CCAS qui examinera le dossier et pourra faciliter les démarches administratives et financières.

Le 7.01.2012

Les élus de « Limours Pour Tous » : Jean-Pierre CHRETIEN, Anne TURPIN, Christian COLLET, Michèle HAMON

Blog: http://limours-pour-tous.over-blog.com 

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 10:41
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  • Samedi 14 janvier en fin d’après midi une cérémonie a réuni à la maison commune de la CCPL de Briis, les nombreux amis d’Anne Turpin ainsi que tous ceux qui d’une manière ou d’une autre contribuent au succès des associations qu’elle anime : La Cantilène avec chorale et chanterie et le festival Meli Melo.

Etaient notamment présents dans l’assistance M.Lestien maire de Forges-les-bains vice-président culture à la CCPL, M. Hugonnet et Mme Aguesse respectivement maire et première adjointe à la culture de Limours, Mme J. Grau adjointe au maire de Briis-sous-Forges, M. C. Schoettl président de la CCPL et M. N. Schoettl conseiller général du canton.

Retenus par d’autres obligations, M. Guedj président de conseil général, Mme Claire Lise Campion sénatrice, M. Berson sénateur et M. Thomas conseiller régional, qui tous étaient de ceux qui avaient soutenus le dossier d’Anne, s’étaient excusés.

 Cette cérémonie validait de la nomination d’Anne au grade de chevalier de l’Ordre National du Mérite, décoration qui lui a été remise par son ami Etienne Guyon, lui-même officier dans l’ordre du même nom.

 Ce fut une réunion empreinte de simplicité et de chaleur communicative, bien à l’image d’Anne dont Etienne brossa, avec le talent qu’on lui connaît, le portrait : militante associative, bénévole dévouée, infatigable et opiniâtre qui a su pendant 46 ans au service de la culture et de la solidarité, promouvoir la culture musicale et attirer de nombreux jeunes ou moins jeunes vers cette activité, et rassembler de nombreuses associations pour un festival annuel qui en est à sa 17ème édition.

 Anne très émue remercia présents et absents par un discours dont nous reproduisons le contenu par ailleurs. (voir "Pages" ci-contre) )

A la suite d'un intermède musical de guitares, la chorale de la Cantilène a interprété "Le temps des cerises"  avant que la soirée se prolonge autour d’un verre de l’amitié où chacun put échanger sur l’événement, congratuler Anne et l’embrasser.

 

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 10:45

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 16:14

Lors du conseil municipal du 7 avril 2011, les élus devaient choisir entre 2 modes de gestion du service de l’eau :

- gestion directe par la commune : exploitation en régie avec personnel communal passant par la création d’un service équipé de matériel spécifique et doté d’équipes disposant des diverses compétences nécessaires

- gestion déléguée : la commune choisit de confier l’exploitation, par un contrat d’affermage, à un opérateur privé.

 

Le maire et les élus de la majorité municipale ont voté pour l’affermage avec, pour explications :

-          Complexification de l’exploitation du service d’eau potable et des exigences accrues des usagers.

-          Risques encourus supérieurs à ceux que la commune supporte actuellement, si cette dernière choisit d’assurer la régie du service de l’eau potable. Elle aura à assumer les risques liés à l’exploitation du service (qualité de l’eau et exploitation des ouvrages), ainsi que les risques économique  et pénal.

-          Alourdissement des contraintes de gestion du personnel (tout en reconnaissant un coût moins élevé de la main-d’œuvre  en régie par rapport à une entreprise privée.

Les élus de Limours Pour Tous étant plus favorables à une régie municipale, s’abstiennent pour ce choix de l’affermage (une hypothèse financière n’a pas été réalisée par la commune sur le coût de la régie).

D’autre part, le maire refuse la mise en place d’un tarif progressif lié à la consommation de l’eau, comme cela existe dans d’autres communes (autorisé par une loi en 2010).

L’objectif est d’offrir à tous les ménages une tarification plus juste, et de contribuer à répartir le service de l’eau de manière plus équitable entre toutes les personnes en faisant appel à une formule de répartition qui satisfont le plus grand nombre. Ce tarif progressif encourage les économies d’eau.

 

Récemment, lors du conseil municipal du 15 décembre 2011, le maire et la majorité municipale ont voté favorablement la délégation par affermage du service de distribution de l’eau potable à la Lyonnaise des Eaux. Cette entreprise a été la seule à présenter un dossier, 3 autres entreprises intéressées par ce marché public n’ayant pas déposé d’offres.

 

Les élus de l’opposition, cohérents avec leur vote du 7 avril, se sont abstenus. Ils ont repris leur option pour une régie municipale, d'autant plus que plusieurs villes du secteur réfléchissent actuellement à cette solution pour quand arriveront en fin de contrat avec leur fournisseur d’eau (affermage).

Le maire a répondu être informé des  réflexions de ses collègues, mais préfère que ces villes « essuient les plâtres » pour une régie municipale. Il examinera ainsi plus tard le bien fondé d’une telle option !

De plus, il insiste de nouveau sur les risques encourus par la commune du fait de la responsabilité de la gestion en régie.

« Le délégataire (en cas d’affermage) gère le service à ses risques et périls. Il est responsable du bon fonctionnement des ouvrages et de la continuité du service public »  cf document remis au CM du 7 avril.

 

En résumé, la Lyonnaise poursuit donc son activité actuelle avec un nouveau contrat de 12 ans à compter du 1er janvier 2012.

 

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